L’essentiel dans le plaisir que j’ai eu à la lecture de ce livre vient surtout de l’évocation de la vie au Moyen-Age, en Angleterre, juste au début de la guerre de Cent Ans. Les amours contrariées des jeunes couples attachants que sont Merthin et Caris, l’architecte et la prieure, et Wulfric et Gwenda, les jeunes serfs, se déroulent sur fond de rivalités entre les différents pouvoirs de la ville de Kingsbridge : le prieuré , les moines, le couvent des religieuses, l’évêché, les guildes des marchands, les seigneurs, le roi Edouard III. Nous sommes à la bataille de Crécy avec Caris qui poursuit son évêque pour dénoncer Ralph, le mauvais prieur, qui a volé le couventA Florence, la Peste Noire contraint Merthin, devenu veuf et père, à retourner en AngleterreJe n’ai pas encore lu « Les Piliers de la Terre »mais j’ai adoré « Peur Blanche » du même auteur.
Je dois avouer que cette fois-ci je suis plus mitigée.En effet,si j’ai bien aimé les 641 premières pages d’ « Un Monde sans Fin » jusqu’au départ du héros pour l’Italie et de l’héroïne pour la Normandie, ensuite j’ai un peu décroché! Tout devenait un peu trop prévisible car il fallait plonger à tout prix les personnages dans les grands épisodes de l’ Histoire de cette époque Et puis Caris, devenu le personnage le plus important, me semblait trop moderne, trop éprise de liberté et d’indépendance . Il était temps que le happy end prévisible arrive. J’avais hâte de passer à une autre histoire.
Un monde sans fin, Ken Follett, Robert Laffont, 1.296 pages, traduit de l'anglais par Viviane Mikhalkov, Leslie Boitelle et Hannah Pascal.
j'ai beaucoup aimé comme les pilliers de la terre
RépondreSupprimerPom' tu as raison, j'y repense avec plaisir! Tout ce qui touche cette période m'intéresse!
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