"Un roman malicieux mais cruel, sous les dehors d'un polar décalé, dans un grand monastère bouddhiste comprenant plusieurs pagodes et six "ouatères" destinés aux visiteurs ." (Le Monde)
Une délicieuse surprise ce court récit sur deux amis d’enfance qui se retrouvent après une vingtaine d’années dans des circonstances dramatiques mais rendues amusantes et cocasses car racontées par l’un d’eux, le plus naïf et le plus attachant.
Il est préposé aux toilettes du monastère du Dragon, à Pékin, où il s'est installé pour économiser le loyer. Il y vit seul car divorcé et loin de son fils, sa seule raison de vivre.
Une délicieuse surprise ce court récit sur deux amis d’enfance qui se retrouvent après une vingtaine d’années dans des circonstances dramatiques mais rendues amusantes et cocasses car racontées par l’un d’eux, le plus naïf et le plus attachant.
Il est préposé aux toilettes du monastère du Dragon, à Pékin, où il s'est installé pour économiser le loyer. Il y vit seul car divorcé et loin de son fils, sa seule raison de vivre.
«Moi les ouatères, c’est mon métier et, par-dessus le marché, je vis dedans.»
Son métier, il le fait avec amour et gagne sa vie en vendant du papier toilette à ceux qui n’en ont pas apporté. Il est relativement heureux jusqu’au jour où son ami d’enfance, qu’il admire, vient lui demander de l’héberger sur son lieu de travail.
Là aussi commence le polar!
C’est un récit très agréable à lire, drôle, percutant, rocambolesque et très moderne sur la Chine actuelle et l’argent facile.
Ce qu'en dit In cold blog pour qui c'est "une petite merveille d'humour".
Vingt ans étaient passés, mais je n’avais pas oublié son nom, il était assis à la même table que moi, au collège. Vingt années que je ne l’avais pas vu, et soudain, voilà qu’il débarquait à l’improviste.Celui-ci est d’un milieu social plus élevé et s’est beaucoup enrichi, sans scrupules, avec cynisme, mais il est désormais poursuivi pour de vilaines affaires. Il exploite très vite la bonté de son ami tout en se faisant nourrir par lui et en lui suggérant une bien mauvaise idée pour s'enrichir à toute allure grâce à son insolite lieu de travail... et ça marche!
Là aussi commence le polar!
C’est un récit très agréable à lire, drôle, percutant, rocambolesque et très moderne sur la Chine actuelle et l’argent facile.
Ce qu'en dit In cold blog pour qui c'est "une petite merveille d'humour".
Mon petit coin de monastère, Bei Bei
Roman traduit du chinois par Françoise Naour
(Bleu de Chine) Gallimard, 2010, 93 p.
Bei Bei: Pseudonyme de Lin lan, romancière et rédactrice de revue.
Bei Bei: Pseudonyme de Lin lan, romancière et rédactrice de revue.
Un roman drôle et court, ça ne se refuse pas !
RépondreSupprimerIl est savoureux!
SupprimerIl me tente bien également ...
RépondreSupprimerY.
Si tu le trouves à la bibliothèque , comme moi, n'hésite pas surtout!
SupprimerPourquoi pas si je le croise !
RépondreSupprimerIl est très agréable, tu verras!
SupprimerIl a tout pour me plaire celui-là !
RépondreSupprimerJe suis certaine que tu l'aimerais!
SupprimerJe l'avais repéré à sa sortie ce livre...
RépondreSupprimerIl mérite d'être lu! Cynique et drôle.
SupprimerTu me tentes : de l'humour, du suspens, et les toilettes. Que demander de plus ?
RépondreSupprimerCurieux récit , drôle et enlevé mais plus profond qu'il ne semble au premier abord.
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