Vacance au pays perdu de Philippe Ségur

Sans autorité sur ses enfants, graphiste spécialisé dans le packaging de produits alimentaires mais strict végétarien, un père de famille décide brusquement de changer de vie de façon radicale pendant une semaine. Sa femme lui donne sa bénédiction pour une virée en célibataire avec Cricri, son meilleur ami. Dès le début du roman, elle les conduit en voiture à l’aéroport. Ils ont choisi l’Albanie, dernier pays à s’être libéré du stalinisme, encore peu fréquenté par les touristes…

Ce début de récit était prometteur et je me régalais d’avance d’autant plus que le ton humoristique me plaisait bien. Hélas, j’ai très vite déchanté et le séjour dans ce pays encore peu connu m’a déçue. Autant l’avouer je me suis ennuyée à suivre les minables déambulations de ces deux personnages insignifiants qui ne me semblaient ni sympathiques ni très cohérents !

Je vais oublier très vite cette lecture sans en dire davantage. Je n’aime pas ne pas aimer un livre à ce point !

Clarabel et Delphine Cingal l’ont aimé, Amanda non.

Vacance au pays perdu de Philippe Ségur (Buchet Chastel, 2008, 256 p.)